Goosebreak est un projet qui a pris plusieurs années à émerger. Après avoir utilisé quelques fontes syllabiques dans ses projets, André Simard a voulu créer un caractère doté d’une forte personnalité tout comme le Harfang qui lui a servi de base pour le design. Cette famille est conçue pour toutes les langues autochtones canadiennes et se décline en 12 fontes qui conviennent tant à l’écriture éditoriale qu’à la rédaction publicitaire. Son aspect anguleux lui donne un style singulier, ce qui en fait une police très intéressante en grand format.
« J’ai nommé cette police de caractères, Goosebreak. Ce nom fait référence à la période de chasse à l’oie du printemps “ nituwaaschenaanuu ” pour laquelle, les communautés autochtones cris du Nord québécois y attachent une grande importance. »